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 ♂♂Horde Heroini Cichlasomatine. ♀♀ n°7

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eidge 54

eidge 54


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Date d'inscription : 27/02/2013
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♂♂Horde Heroini Cichlasomatine. ♀♀   n°7  Empty
MessageSujet: ♂♂Horde Heroini Cichlasomatine. ♀♀ n°7    ♂♂Horde Heroini Cichlasomatine. ♀♀   n°7  EmptyMar 10 Sep - 6:06

Bonjour à vous,
Après le stress, voici sous un angle diffèrent le stress, Waliboo confort-pack stress-Coat.

♂♂Horde Heroini Cichlasomatine. ♀♀
PRESENTATION 7.
Des souches sauvages aux variétés hybrides.
Des origines des Symphysodons aux standards du Discus.
Cette dissimilitude est sans équivalence dans le reste du monde.
Waliboo confort-pack stress-Coat etc... Commente les propos suivants.
Le stress en aquariophilie et plus particulièrement chez les Symphysodons Discus.
L'aquariophilie est un loisir passionnant et enrichissant. Il y a cependant des précautions à prendre.

Comme les humanoïdes, les engluons, ou vos poissons qui sont confrontés au stress sont susceptibles De développer des problèmes de santé. Le repère sur les raisons qui expliquent l'arrivée de la maladie dans nos réservoirs, ou nos bacs, ses conclusions sont sans appel, toutes les études des scientifiques convergent le principal facteur à l'origine de la plupart des pathologies c’est le Stress !!!.
Beaucoup d'aquariophiles découragés abandonnent parfois, lassés de voir leurs petits condisciples mourir souvent au terme d'une longue agonie. Il n'y a pas de fatalité ce sont nos erreurs, notre ignorance, notre précipitation ou notre manque de volontarisme qui sont souvent les responsables. Comme dit le proverbe "mieux vaut prévenir que guérir».
Stress : Le stress n'est pas une maladie en lui-même mais une réaction du poisson à une situation anormale de son environnement, réaction pouvant le conduire à une mineur résistance puis la mort.

Le stress est mauvais pour tous les organismes vivants. Chez le poisson, le stress est un gros problème parce qu'ils ne peuvent rien faire pour se calmer alors que nous pouvons changer de travail, de compagne / compagnon, ou encore rallumer le chauffage lorsque l'on a froid. Les poissons, eux, doivent vivre dans leur petite boite en verre que nous appelons "aquarium". Ils sont complètement dépendants de notre bonne volonté pour soulager leur stress.il existe pourtant des solutions.

Les causes de stress chez le poisson :

En général, les poissons sont des créatures plutôt résistantes, et tant que leurs conditions de vie restent relativement identiques, ils peuvent faire face au stress, jusqu'à un certain point. Alors, quels sont les facteurs de stress auxquels sont le plus souvent confrontés les poissons ? Voici une autre version que celle du Dr Jacques Thomas. Un complément d’information auquel nous sommes tous confrontés un jour ou l’autre.je ne m’exclus pas de ce fait.

Changements brutaux dans l'environnement.

C'est l'une des sources de stress les plus répandues chez les poissons, via évidemment chez le Discus. La plupart des amateurs ne changent pas assez souvent l'eau de leur aquarium, donc l'eau dans laquelle nagent les poissons devient, au fur et à mesure que le temps passe, leurs toilettes. Néanmoins, la plupart des poissons sont capables de s'accrocher. Changer intégralement l'eau de votre aquarium en une seule fois alors que vous ne vous en êtes pas occupé du tout pendant des mois entrainera un stress important chez vos Discus ou même chez vos poissons.

Un changement soudain de température à cause, par exemple, d'une panne de chauffage, sera tout aussi stressant pour vos Symphysodons ou vos poissons. Tout ajout à l'eau de l'aquarium, que ce soit un produit ou un objet, amplifie le stress de vos poissons si cet ajout provoque un changement important au niveau du pH ou de la dureté de l'eau. Méfiez-vous par exemple de ce joli caillou que vous avez trouvé sur la plage en vacances à Cannes ou à Agadir ou ailleurs.

Eau inadaptée a certaines espèces.

C'est une source de stress assez modérée, mais avec le temps, le discus s'use et peut lâcher prise. La plupart des poissons que vous trouverez dans l'animalerie de votre ville sont issus de la reproduction à but commercial. Les conditions de vie de leurs ancêtres dans la nature leur importent peu. La plupart d'entre eux n'ont aucun problème avec un ph et une eau à la dureté neutre ou une température autour des 23°C.

En revanche, certaines espèces ont besoin d'une eau aux paramètres très spécifiques. Les Cichlides africains, par exemple, ont besoin d'une eau dure et alcaline. Ils ne seront pas au mieux de leur forme dans une eau douce et acide, pourtant tant appréciés du tétra cardinal. Le discus, lui, a vraiment besoin d'une eau chaude, au moins 26°C. Les Discus seraient très stressés dans l'eau à température normale dans laquelle nous gardons la plupart des poissons tropicaux. Ils y dépériraient lentement mais surement avant de mourir. (Le discus noirci, attention danger). Les poissons rouges ont besoin de températures plus fraiches, ils sont extrêmement stressés dans une eau dépassant les 24-25°C.

Persécutions :

Être persécuté par d'autres poissons peut être très stressant pour un poisson. Après tout, dans la nature, si un poisson fait irruption dans le territoire d'une paire de Pterophyllum, ceux-ci vous simplement chasser l'intrus qui trouvera refuge ailleurs, loin d'eux. Dans l'espace très réduit d'un aquarium, l'intrus n'a nulle part où aller. Comme il ne peut pas quitter le territoire des autres poissons, il sera persécuté, et donc stressé, par ces poissons, en permanence, parfois même jusqu'à ce que mort s'ensuive.

Certains poissons deviennent de véritables bourreaux pour tous les autres poissons de l'aquarium. Dans ce cas, la seule solution pour remédier au stress de poissons est de retirer le tourmenteur de l'aquarium. Lorsqu'un groupe de poissons, le plus souvent les cichlides, a été élevé ensemble puis se sépare en plusieurs couples pour se reproduire, le poisson célibataire est soumis à un stress important. Il se retrouve alors coincé dans un angle de l'aquarium et il faut le séparer du couple, soit en le mettant dans un autre aquarium, soit en y mettant le couple.(il est utile après une formation de couple de Discus d’introduire un plecostomus,qui servira de bête noire, et développera l’instinct de survie et de protection pour le couple de Discus envers leur progéniture :le plécos a la vie dure !!.

Maladies et parasites :

Ils peuvent être source de stress pour un poisson, mais généralement, c'est plutôt le stress qui provoque la maladie ou l'invasion de parasites. De nombreuses maladies et parasites qui affectent les poissons sont naturellement présents dans l'aquarium en permanence. Quand ils sont en bonne santé et ne subissent pas de stress, les poissons, dans l'ensemble, peuvent combattre la plupart des maladies et autres parasites grâce à leur système immunitaire et à la protection que leur procurent leur peau, leurs écailles et leur manteau visqueux.

Quoi qu'il en soit, lorsque les poissons subissent un stress, quelle que soit son origine (voir ci-dessus), leur santé se dégrade rapidement et ils risquent de succomber à des maladies ou à des parasites.

Pour les poissons comme pour de nombreux animaux, la maladie n'est pas la cause du stress, mais le stress est la cause de la maladie.
Il est possible de rajouter un conditionneur d’eau :
Conditionneur pour poissons et eau du robinet à base d'Aloe Vera, (Stress Coat) en contient 10%.(exemple de produit).

Autre version :

Sel 100% naturel (évaporation d'eau de mer), il améliore la fonction branchiale des poissons et réduits le stress et la perte d'électrolytes. Il s'utilise en prévention contre les maladies parasitaires et bactériennes. (C’est le premier traitement qu’inoculent les pécheurs du Nhamundã sur les discus sauvages).
En cas de maladie déclarée, il renforce l'efficacité des médicaments et accélère le processus de guérison des poissons.
Ce sel réduit également les effets nocifs des nitrites. Il s'utilise en eau douce comme en eau de mer. Sans danger pour les plantes et les invertébrés, il ne fait pas varier le Ph.

Autre solution : avec le système confort-pack :

Depuis que l’aquariophilie existe, nous avons l’habitude de voir les mêmes méthodes de vente et de maintenance. Les poissons sont stockés dans des aquariums de grande taille en très grands nombres. Quand un aquariophile se rend dans son magasin pour acquérir un nouveau spécimen, il s’adresse à un vendeur animalier qui doit pêcher le poisson dans ces grands aquariums. Ces images sont tellement habituelles, que l’on ne se pose pas la question de savoir si cette méthode est bonne ou mauvaise.
Afin d’améliorer le bien-être des poissons, nous avons tout remis à plat pour développer une technique permettant de mieux traiter les poissons dans les magasins d’aquariophilie. Pour cela, nous avons cherché à minimiser les sources de stress dans le magasin. Des scientifiques ont démontré récemment que le stress le plus important pour un poisson est la prise dans une épuisette et la sortie de l’eau. Ce stress est apparu si important, que les scientifiques ont baptisé leur article « no net please !!! » « S’il vous plaît n’utiliser pas d’épuisette!!! ».(La pêche à la main se pratique depuis des lustres (voyer les indiens, qui plongent à mains nues et ramènent jusqu’à 3 ou 4 discus. Un exploit que je ne peux réitérer, tellement l’exercice est difficile pour nous). Du vécu !!!.

Le système Confort-pack n’utilise pas d’épuisette en magasin et permet d’éviter aux poissons de nombreux changements d’eau et plusieurs manipulations successives et néfastes.
Les sources de stress sont donc réduites au maximum au cours du transport ce qui permet de meilleurs résultats pour les poissons:
Il dépose un voile protecteur sur la peau et les muqueuses des poissons et favorise la cicatrisation des blessures et la régénération des tissus (après une maladie, le transport des poissons).
Stress Coat réduit la perte d'électrolytes et joue un rôle d'antistress. Il élimine instantanément le chlore et la chloramine, rendant ainsi l'eau saine pour les poissons et neutralisent les métaux lourds.

Stress Coat s'utilise en eau douce et en eau de mer, lors du démarrage d'un aquarium, après chaque changement d'eau, lors de l'introduction de nouveaux poissons, après une maladie quand la peau et les nageoires sont abîmées. Sans danger pour les plantes et invertébrés.
Il n'altère ni le ph de l'eau, ni la filtration biologique.
Les choses étant mises au point, je cite (extrait internet Wikipédia, lr 54, Waliboo confort-pack stress-Coat etc..) et commente les propos suivants.

Bon voilà un début de réponse pour un sujet qui nous concerne tous aquariophiles.

Voici cependant une autre version :

Le stress est mauvais pour tous les organismes vivants. Chez le poisson, le stress est un gros problème parce qu'ils ne peuvent rien faire pour se calmer alors que nous pouvons changer de travail, de compagne / compagnon, ou encore rallumer le chauffage lorsque l'on a froid. Les poissons, eux, doivent vivre dans leur petite boîte en verre que nous appelons "aquarium". Ils sont complètement dépendants de notre bonne volonté pour soulager leur stress.

Les causes de stress chez le poisson

En général, les poissons sont des créatures plutôt résistantes, et tant que leurs conditions de vie restent relativement identiques, ils peuvent faire face au stress, jusqu'à un certain point. Alors, quels sont les facteurs de stress auxquels sont le plus souvent confrontés les poissons ?

Changements brutaux dans l'environnement.

C'est l'une des sources de stress les plus répandues chez les poissons. La plupart des amateurs ne changent pas assez souvent l'eau de leur aquarium, donc l'eau dans laquelle nagent les poissons devient, au fur et à mesure que le temps passe, leurs toilettes. Néanmoins, la plupart des poissons sont capables de s'accrocher. Changer intégralement l'eau de votre aquarium en une seule fois alors que vous ne vous en êtes pas occupé du tout pendant des mois entrainera un stress important chez vos poissons.

Un changement soudain de température à cause, par exemple, d'une panne de chauffage, sera tout aussi stressant pour vos poissons. Tout ajout à l'eau de l'aquarium, que ce soit un produit ou un objet, amplifie le stress de vos poissons si cet ajout provoque un changement important au niveau du ph ou de la dureté de l'eau. Méfiez-vous par exemple de ce joli caillou que vous avez trouvé sur la plage en vacances à Cannes ou à Agadir.

Eau inadaptée a certaines espèces.

C'est une source de stress assez modérée, mais avec le temps, le poisson s'use et ppeut lâcher prise. La plupart des poissons que vous trouverez dans l'animalerie de votre ville sont issus de la reproduction à but commercial. Les conditions de vie de leurs ancêtres dans la nature leur importent peu. La plupart d'entre eux n'ont aucun problème avec un ph et une eau à la dureté neutre ou une température autour des 23°C.

En revanche, certaines espèces ont besoin d'une eau aux paramètres très spécifiques. Les Cichlides africains, par exemple, ont besoin d'une eau dure et alcaline. Ils ne seront pas au mieux de leur forme dans une eau douce et acide, pourtant tant appréciée du Tétra cardinal. Le Discus, lui, a vraiment besoin d'une eau chaude, au moins 26°C. Les Discus seraient très stressés dans l'eau à température normale dans laquelle nous gardons la plupart des poissons tropicaux. Ils y dépériraient lentement mais surement avant de mourir. Les poissons rouges ont besoin de températures plus fraiches, ils sont extrêmement stressés dans une eau dépassant les 24-25°C.

Persécutions

Etre persécuté par d'autres poissons peut être très stressant pour un poisson. Après tout, dans la nature, si un poisson fait irruption dans le territoire d'une paire de Pterophyllum, ceux-ci vous simplement chasser l'intrus qui trouvera refuge ailleurs, loin d'eux. Dans l'espace très réduit d'un aquarium, l'intrus n'a nulle part où aller. Comme il ne peut pas quitter le territoire des autres poissons, il sera persécuté, et donc stressé, par ces poissons, en permanence, parfois même jusqu'à ce que mort s'ensuive.

Certains poissons deviennent de véritables bourreaux pour tous les autres poissons de l'aquarium. Dans ce cas, la seule solution pour remédier au stress de poissons est de retirer le tourmenteur de l'aquarium. Lorsqu'un groupe de poissons, le plus souvent les cichlides, a été élevé ensemble puis se sépare en plusieurs couples pour se reproduire, le poisson célibataire est soumis à un stress important. Il se retrouve alors coincé dans un angle de l'aquarium et il faut le séparer du couple, soit en le mettant dans un autre aquarium, soit en y mettant le couple.

Maladies et parasites

Ils peuvent être source de stress pour un poisson, mais généralement, c'est plutôt le stress qui provoque la maladie ou l'invasion de parasites. De nombreuses maladies et parasites qui affectent les poissons sont naturellement présents dans l'aquarium en permanence. Quand ils sont en bonne santé et ne subissent pas de stress, les poissons, dans l'ensemble, peuvent combattre la plupart des maladies et autres parasites grâce à leur système immunitaire et à la protection que leur procurent leur peau, leurs écailles et leur manteau visqueux.

Quoi qu'il en soit, lorsque les poissons subissent un stress, quelle que soit son origine (voir ci-dessus), leur santé se dégrade rapidement et ils risquent de succomber à des maladies ou à des parasites.

Pour les poissons comme pour de nombreux animaux, la maladie n'est pas la cause du stress, mais le stress est la cause de la maladie.
Il est possible de rajouter un conditionneur d’eau :
Conditionneur pour poissons et eau du robinet à base d'Aloe Vera, (Stress Coat) en contient 10%.(exemple de produit)
Autre version
Sel 100% naturel (évaporation d'eau de mer), il améliore la fonction branchiale des poissons et réduits le stress et la perte d'électrolytes. Il s'utilise en prévention contre les maladies parasitaires et bactériennes.
En cas de maladie déclarée, il renforce l'efficacité des médicaments et accélère le processus de guérison des poissons.
Ce sel réduit également les effets nocifs des nitrites. Il s'utilise en eau douce et en eau de mer. Sans danger pour les plantes et les invertébrés, il ne fait pas varier le ph ;

Enfin une dernière avec l’INRA en toile de fond.

Cet article fait modestement le point sur les raisons qui expliquent l'apparition de la maladie dans nos bacs, ses conclusions sont sans appel, toutes les études des scientifiques convergent le principal facteur à l'origine de la plupart des pathologies c’est le stress.
Beaucoup d'aquariophiles découragés abandonnent parfois, lassés de voir leurs petits compagnons mourir souvent au terme d'une longue agonie. Il n'y a pas de fatalité ce sont nos erreurs, notre ignorance, notre précipitation ou notre manque de volontarisme qui sont souvent les responsables. Comme dit le proverbe "mieux vaut prévenir que guérir».
1. Le stress et la maladie, une réponse aux agressions
2 Les commandements d'une bonne conduite aquariophile

Intro :

Comment éviter les maladies qui frappent nos poissons d’ornement et découragent souvent définitivement bon nombre d’amateurs? Chacun donne son avis, propose un traitement qui sauf dans quelques cas bien ciblés échoue, pire encore, aggrave la situation et à long terme peut avoir des conséquences fâcheuses. C’est volontairement que nous n’aborderons pas l’aspect des traitements médicamenteux.
Nos pensionnaires sont d’abord et avant tout malades des conditions de vie que nous leur imposons.
Les mécanismes de l’apparition de la maladie et de défense des poissons ont été assez peu étudiés chez les espèces exotiques, sans doute parce qu’ils ne sont pas pour la plupart destinés à la consommation humaine.
Celles sur les poissons de consommation (truite, saumon, carpe, tilapia) et les mammifères sont beaucoup plus nombreux et approfondis, les intérêts économiques et de santé publique sont évidents. Le problème des maladies des poissons d’ornement et leurs conséquences sont si réels que certains technocrates songent à imposer aux particuliers « un certificat de capacité »pour la détention et l’élevage …C’est déjà le cas pour un certain nombre d’animaux de compagnie.

Remarque :

Pour l’aquariophile et même le spécialiste, la principale difficulté tient au problème du diagnostic : très difficile à établir. Les symptômes de la maladie sont multiformes pour une même origine.
L’hydropisie par exemple peut avoir de multiples causes : bactériennes, virales, ou de mauvaises conditions de maintenance etc. Une autre tient au problème du dosage, du choix de la molécule : médicament généraliste du commerce, spécialité à usage humain.

Faut-il isoler le malade, traiter tout le bac, euthanasier ?

Le stress et la maladie une réponse aux agressions !.

Ce mot a été galvaudé, il correspond pourtant à une réalité qui concerne tous les êtres vivants poissons mammifères et humains compris.
Les chercheurs ont mesuré la réalité du stress chez les poissons et leurs réactions face aux « bio agresseurs ». Leurs conclusions convergent : la maladie est d’abord la résultante du stress.
« Le concept de stress a été initialement établi chez les mammifères (chez l’homme en particulier) et il est maintenant démontré que le stress chez les poissons constitue une réponse complexe contrôlée par le système endocrinien » d’après P. Prunet INRA.

Le stress est une réponse d’adaptation à une situation donnée.

Depuis leur lieu de capture dans la nature ou leur bassin d’élevage nos petits compagnons ont subi un véritable parcours du combattants : récoltés, stockés, triés sans ménagement, empaquetés dans des sacs gonflés à l’oxygène (souvent traités préventivement aux antibiotiques) transportés sur de longues distances par avion.
 l’arrivée chez le détaillant (parfois chez un grossiste, une étape de plus) nouveau milieu : ils sont placés en quarantaine (où devraient l’être) nouvelle période d’adaptation et de stress A nouveau ils sont capturés, ensachés, transportés et au final finissent chez l’aquariophile : nouvelles conditions de vie, adaptation.

Il est démontré que les poissons, tout comme les autres vertébrés, répondent à un agent stressant en déclenchant une réponse physiologique, caractérisée par des niveaux plus élevés de cortisol, l'hormone de stress…A chaque étape, chaque moment, l’animal pour survivre a déclenché des « réponses » de stress, la maladie en est une.

Ce n’est pas un hasard si les problèmes apparaissent souvent à ce moment : dans notre bac. Les poissons comme tous les êtres vivants subissent les attaques de « Bio agresseurs » : endoparasites (à l’intérieur du corps), ectoparasites (à l’extérieur) bactéries, mycoses, virus les facteurs environnementaux : qualité de l’eau, composition chimique, bactériologique, alimentation, température, cohabitation entre différentes espèces, aménagement de l’espace sont qualifiés par les auteurs d’éléments « stresseurs ». Ils jouent un rôle essentiel dans les mécanismes de défense face à ces agressions. Le niveau de ce stress a pu être mesuré en laboratoire au travers de l’émission d’hormones diverses, de corticostéroïdes par l’hypothalamus et l’hypophyse du poisson (le système endocrinien).

Remarque :

Chaque fois qu’un poisson est soumis à une action de stress on observe une forte augmentation du taux de cortisol, de cortisone, et d’hormones diverses.
Dans les piscicultures, les poissons dont le taux de cortisol augmente, suite à un stress ou à une injection sont beaucoup plus sensibles aux infections : mycose, furonculose, nécrose bactérienne
C’est l’adaptation ou encore «la réponse compensatrice».

Ces mécanismes existent chez tous les êtres vivants, humains compris, suite à des changements rapides de température, de qualité de l’eau, de confrontation avec des prédateurs…le retour à la normale demande plusieurs heures.
Les taux de secrétions hormonales varient en fonction du stress subi, en particulier celles qui favorisent la croissance et les fonctions immunitaires.

« L'animal est donc soumis à des situations de stress répétées qui peuvent avoir des conséquences négatives plus ou moins importantes sur les performances du poisson, aussi bien sur la croissance que sur la reproduction ou la résistance aux agents pathogènes » (revue de Pickering 1992).Article INRA
Les chercheurs de l’INRA travaillent sur l’utilisation du stress pour renforcer par une sélection génétique la résistance et obtenir un meilleur rendement en pisciculture alimentaire. Certains poissons ont une réactivité au stress plus faible une « héritabilité ».

Remarque les effets du stress se mesurent :

Chez les poissons les taux de base de cortisol sont faibles en période normale, de l’ordre de 5 ng/ml (nanogrammes) en cas de stress aigu le taux peut être multiplié par 100. « Une élévation de la cortisolemie de 10ng /ml « est suffisante pour induire une sensibilité accrue aux maladies… » (Pickering, Duston1983, Maule, Schreck 1987)
Un jeune saumon sorti de l’eau pendant 30 secondes met 24 heures pour un retour à une cortisolémie normale (taux de cortisol, de la famille des corticostéroïdes). Â haute concentration de cuivre la cortisolemie augmente rapidement et entraîne la mort chez le saumon ;(autant vous dire que pour nos discus, la sanction est la même).
D’après Donaldson1981-Bry 1988-wendelaar Bonga 1997 cités par J Thomas).

L’influence du milieu est un facteur déterminant comme on le voit sur le schéma de Snieszko.
Le milieu conditionne l’apparition et la virulence de l’agression. Parmi les facteurs « déclenchants ou « favorisants » (la liste n’est pas exhaustive).
La température : Chaque espèce a une « plage »optimale pour sa croissance, son bien-être.
Les matières organiques en suspension sont la porte ouverte aux mycoses, bactéries.

Remarque :

Un aquarium surchargé mal entretenu ou un excès de nourriture non absorbé est propice au développement des myxobactéries et du genre Aeromonas fréquentes dans les bacs d’élevage. Les déchets azotés sont toxiques pour nos pensionnaires, la consommation d’oxygène par les bactéries aggrave la situation.
La microflore bactérienne joue un rôle essentiel dans l’équilibre biologique : une cuve sans substrat (sable) est plus propice à une « explosion bactérienne ».
Une bactérie redoutable et fréquente dans nos bacs Flexibacter columnaris devient virulente dans les bacs surpeuplés.
Les traumatismes dus aux manipulations, les lésions sont la porte ouverte aux « bio agresseurs » saprolegnia par ex.
Le surpeuplement augmente le stress de manière importante et ouvre la voie aux infections bactériennes
« Le terrain », certaines espèces, sont beaucoup plus résistantes : les derniers à mourir, en général de vieillesse, sont les Gymnocorymbus ternetzi, l’auteur en maintient deux qui vont avoir 10 ans !
L’Age et le sexe, mâles et femelles réagissent parfois différemment sans doute en rapport avec le système hormonal.
Le changement de milieu et donc des caractéristiques physicochimiques de l’eau.
Les relations intra ou interspécifiques qui engendrent des « stress sociaux » comme la peur, une cause essentielle de stress pour nos pensionnaires (problème de territorialité, dominance, poissons taquins, prédation…).
Les substances chimiques : pollutions diverses, chlore, chloramine de l’eau de conduite. Les truites Fario sont des indicateurs utilisés dans les stations de traitement des eaux potables : elle réagit à la moindre altération du milieu par une réaction de stress.
« La présence d'effluents industriels dans l'eau peut être identifiée lorsqu'on observe des poissons mâles qui atteignent la maturité de façon précoce, la masculinisation de poissons femelles » in L'utilisation des indicateurs biologiques pour caractériser les stress environnementaux (Pierre Doucet université de Sherbook, Canada).
Les toxines produites par le métabolisme des poissons, une mauvaise filtration : ammoniaque, nitrites.
L’émotivité : Certaines espèces sont sujettes à des peurs paniques pouvant aller jusqu'à la mort.

Remarque :

L’auteur a vu mourir en quelques secondes près de deux cents alevins Barbus de Sumatra âgés de 3 semaines suite à un choc brutal contre la cuve.
Les résultats illustrent aussi que les mâles et les femelles diffèrent dans leurs réactions au stress… ce qui souligne l'importance de considérer le sexe des poissons.
Les agents pathogènes apparaissent bien comme une « rupture d’équilibre »en leur faveur.
Intervenir sur les causes seulement, désinfectants, antibiotiques non seulement ne résout rien mais aggrave la situation face à des animaux affaiblis il faut remédier aux causes et non seulement traiter les effets.
Il découle de ces quelques observations faites par la recherche ce qu’on pourrait qualifier d’une « bonne conduite aquariophile ».

Les commandements d'une bonne conduite aquariophile.
Les commandements de l’aquariophilie responsable.

Le marché des produits de traitement pour les poissons d’ornement à usage vétérinaire revêt une grande importance économique, les marques, les spécialités inondent les rayons des magasins.

La délivrance par les pharmacies de molécules actives à usage humain ne doit être faite que sur ordonnance utilisée dans des cas graves, bien définis et vendus par ces officines.
De réels abus existent, l’utilisation à tout va par certains aquariophiles d’antibiotiques, de vermifuges puissants créent des souches résistantes, les principes restent actifs même après leur rejet dans le tout- à-l’égout. Cette pratique est d’ailleurs strictement interdite par la DSV. La moralisation demandée avec raison aux professionnels et à l’aquariophilie d’eau de mer (poissons de coraux avec le CITES, le certificat de capacité etc.) doit s’appliquer à tous.

Ce que les chercheurs ont mis en évidence nous avons tous pu l’observer chez nous.

Il y a une corrélation plus ou moins directe entre l’apparition, la déclaration d’une maladie et tout changement dans l’environnement de nos poissons : paramètres physico chimiques de l’eau, arrivée de nouveaux pensionnaires, déséquilibre au sein d’un groupe bien établi, blessures, manipulation etc.

Il faut donc compte tenu de tout ce qui a été dit plus haut assurer aux poissons une acclimatation la plus douce possible et une maintenance la plus proche de ses exigences biologiques.

Une acclimatation en douceur :

La quarantaine est nécessaire inutile d’y revenir, mais évitez la cuve nue exiguë, sans caches ni abris : sable, plantes, filtre, sont les bienvenus, une température légèrement plus élevée préférable. Si vous n’en avez pas l’envie ou la possibilité, au moins ne les introduisez pas brutalement dans le bac ils ont déjà assez subi ! Ne laissez pas flotter la poche plastique sous une lumière écrasante, videz délicatement le sac et son contenu dans un récipient couvert, sombre.
A l’aide d’un tuyau de petit diamètre (tuyau d’aération), siphonnez l’eau de leur futur domaine, la transition se fait doucement. Agissez de préférence le matin les nouveaux pensionnaires auront pu « trouver leurs marques » avant la nuit. Laissez toujours près du bac une petite veilleuse de quelques Watts, bleue de préférence.

Une maintenance de bon sens :

Aucun produit miracle du commerce même si certains ont prouvé leur efficacité ne remplacera un changement périodique d’une partie de l’eau « usée »par le métabolisme des poissons. Les meilleurs filtres tôt ou tard s’encrassent.
Evitez les cohabitations traumatisantes pour certaines espèces dont l’incompatibilité est patente. Refusez d’acquérir des poissons trop grands, trop territoriaux ou prédateurs.

Remarque :

Sait-on que le gentil scalaire est certains Discus dès que les lumières sont éteintes se transforment en redoutables chasseurs de guppys, néons, cardinalis qu’ils ignorent le jour ?
Prévoyez un habitat adapté : caches, « espaces tampon » pour les timides ou les dominés ou au contraire pour les espèces de pleine eau, un espace où ils pourront nager, s’ébattre.
Surveillez à ce qu’une domination excessive n’aboutisse pas pour l’un des habitants du bac à un stress permanent, à un refus de s’alimenter (c’est fréquent chez les Discus) la maladie le guette.
Nourrissez aussi le soir avant l’extinction de l’éclairage pour que les poissons de fonds Corydoras ou Ancistrus aient leur part.
Ne traumatisez pas ces malheureuses femelles guppy dans ces « pondoirs » véritables chambres à torture ! Mettez-les dans un petit bac bien planté, deux degrés en plus, gavés de nourriture elle ne touchera pas à ses alevins.
Le bac spécifique est bien sur une bonne approche de l’aquariophilie mais il n’y a aucun inconvénient, si l’on n’est pas puriste à faire cohabiter des espèces aux exigences de maintenance proche, eau, température, espace, aménagement.

Chaque jour relaxez-vous en observant tous les pensionnaires et surtout ceux qui sont trop discrets : tout de suite on voit si « quelque chose ne va pas ».
Inutile de sortir l’artillerie lourde tout de suite quelques fois un isolement, un peu de gros sel, une élévation de T° de quelques degrés, un changement partiel de l’eau est tout rentre dans l’ordre.

Les traitements médicamenteux sont aléatoires.

K. Reeves vétérinaire et éleveur professionnel de Discus aux Etats unis et spécialistes de pathologie des poissons d’aquarium écrit.
« Le traitement que j’utilise et que je recommande le plus souvent est de changer d’eau. Près de 90% des maladies des poissons sont provoquées par le stress, et une mauvaise qualité d’eau est le stress le plus fréquent. Si vous commencez à avoir un problème de maladie avec vos poissons, analysez votre eau plutôt que de recourir à la pharmacopée. Souvent un nettoyage de l’aquarium et un changement d’eau guériront vos poissons sans autre traitement. » (Wattley 1991) cités par J. thomas.
La nuit, surtout si votre bac est très planté la teneur en gaz carbonique augmente considérablement, et affaiblit vos pensionnaires, ou pire, l’acidose ou l’asphyxie survient laissez une forte aération (bulleuse) que vous couperez le jour.

Vétérinaire un métier :

Les « modérateurs » des forums, aquariophiles expérimentés, sont en général de bon conseil, mais difficile de tout contrôler. Récemment un internaute pense utiliser sur son platy qui traîne des longs filaments à l’anus… un antibiotique puissant très connu, car son poisson à des vers assure-t-il ! …Erreur de diagnostic possible doublée d’un traitement à contresens.
Un autre post d’un débutant affolé parce que son PH varie entre et 6,5 et 7 (Bac amazonien), comment éviter une situation si dramatique, quels produits utilisés ?
A part quelques pathologies bien ciblées comme l’ichtyo, et certaines mycoses prises à temps, la guérison est aléatoire.
Une examitose (maladie des trous) fréquente chez les cichlidés touche les organes internes, l’intestin, puis gagne la périphérie, les chances de le guérir sont minces : dès qu’un poisson cesse de s’alimenter ou s’isole, il faut réagir.
La bactérie Aeromonas hydrophila, est l’une des plus répandues dans les bacs surpeuplés trop chargés en substances organiques ( excès de nourriture par ex), avant d'utiliser un désinfectant le renouvellement de l’eau en tout ou partie sur une durée de quelques heures résout souvent le problème. Si des symptômes hémorragiques se manifestent : trop tard. Paradoxalement des changements d’eaux brutales sont au final moins stressant (la réponse au stress peut avoir des effets positifs, pour une reproduction par ex) que des changements brutaux, fréquents de milieu ou d’environnement ou de sa composition physicochimique.

Remarque :
Le pire ? Pas toujours. Récemment l’auteur a vu un Discus en pleine forme, un dominant, cessé de s’alimenter. Après mise en bac hôpital, élévation de température à 30 33°, gros sel, notre compère retrouve la forme. Remis avec ses collègues, il recommence la grève de la faim. Patiente observation : un Sturisoma l’avait pris en grippe et au moment de la distribution de nourriture se collait à lui …Sans intervention il se serait laissé mourir de faim.

En définitive :

Prévenir vaut mieux que guérir. Le plus grand de nos bacs à l’échelle de la nature n’est qu’un dé à coudre, son équilibre est par définition instable et potentiellement facteur de stress. Les poissons les moins brinqueballés vivent le plus longtemps certains cardinalis qui ne changent jamais de bac peuvent vivre de quatre à six ans et ne sont jamais malades.

Je cite :

« Pourquoi, parmi les poissons atteints d’une même maladie, ceux que l’on traite par des produits normalement actifs sur l’agent pathogène meurent en plus grand nombre que ceux où l’on dérange le moins possible ? « ….Quand les conditions sont imposées aux poissons (élevage, aquarium, plus on s’éloigne des valeurs optimales, plus le poisson aura des difficultés à accomplir ses fonctions physiologiques (et en particulier les fonctions immunitaires) » J thomas, déjà cité.

C’est une question en forme de réponse, la recherche et l’aquariophilie « de terrain »vont exactement dans le même sens.

De nombreux articles ont été consultés (Entre autres L'INRA qui travaille sur ces questions) et tous arrivent aux mêmes conclusions évoquées dans cette étude. Une partie de notre travail, outre nos observations personnelles, repose sur la très consistante et très documentée thèse de Doctorat de Jacques Thomas soutenue en 2000 à Rennes « Stress et résistance aux bio agresseurs chez les poissons
Bibliographie en savoir plus, et aussi les publications de l’INRA.

P. Prunet: Unité de recherche ichtyologique biodiversité et environnement (Rennes) « Génétique et adaptation chez les poissons : domestication, résistance au stress et adaptation aux conditions de milieu ».
1 - INRA Génétique des poissons, 78352 Jouy en Josas Cedex, France.

2 - INRA SRIBE, Campus de Beaulieu, 35042 Rennes cedex, France.

1: M. Vandeputte, 2: M. P. Prunet « Bien-être et stress chez les poissons d'élevage ».
Aupérin B., Gaignon J.L.1999. Le bien-être des poissons : recherche en cours. 1. Journées de la pisciculture, Nantes (FRA), 1999/11/02-04. p. 90-92.

Merci pour la base de cet écrit pour l’initiation au stress.
Conclusion :

Un rendez-vous que je ne manquerai pas. Cette synthèse est possible grâce à l’observation et à des recoupements d’informations en temps voulus. Un condensé extraient de certains articles intéressants, avec la composition, des unités de recherche, et de l’auteur, avec le complément de mes observations. (N’en déplaise à mauvaises langues qui se pratique sur l’internet), compléments aussi sur la librairie aquariophiles, je ne m’approprie pas tout le travail fait en amont, les formulations de confères en Europe vont bon train. Je reste confiant pour la plus grande satisfaction d’un aquariophile responsable, cherchant la vérité sur son hobby, et ne voulant pas faire n’importe quoi !...

Rappel à la loi, elle est pourtant simple !.

L214-1. Tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce.
Dans la nature tout a été colonisé pratiquement l'ensemble des territoires et des biotopes de la planète. Il en est des poissons comme des autres espèces et ils se sont adaptés à l'ensemble des biotopes disponibles.

Ce qu'il faut retenir, c'est que ces adaptations ne doivent rien au hasard et qu'elles répondent à un impératif de survie. Selon les lois de Darwin, les espèces se modifient par la pression du milieu vers une sélection des sujets les plus aptes à vivre dans les conditions locales.

Pour l'aquariophile, ces poissons ont besoin de retrouver les mêmes conditions de milieu sous peine de disparaître. Le marché aquariophile à des circonvienne sur les poissons que l'on trouve dans les magasins. La convoitise acharnée produit des astigmatismes commerciaux. Alors de la mansuétude pour respecter les donner paramétriques et les caractéristiques de nos symphysodons.
Merci de sursauter à cet article et de me donner votre point de vue.

A plus Aquariophilement votre chroniqueur discussophile Eidge 54.
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maronel

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Merci eidge, pour ce magnifique exposé ♂♂Horde Heroini Cichlasomatine. ♀♀   n°7  26989010
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